Nos Conseils

Installation type manuelle TIG (Tungstène Inert Gaz) est un procédé qui utilise une électrode réfractaire en tungstène, placé dans l’atmosphère d’un gaz inerte (argon, hélium ou hydrogène). Ce gaz protège ainsi le métal de l’oxydation. La chaleur de l’arc formé entre l’électrode et le métal fait fondre les bords du métal. On peut ajouter un métal d’apport à la soudure, sous la forme d’une barre métallique nue au niveau de l’arc ou du point de soudure. Ce procédé peut s’appliquer à quasiment tous les métaux et produit de soudure de haute qualité. TIG DC (courant continu) : Tungstène rouge, gris, bleu soudage des aciers inox TIG AC (courant alternatif) : Tungstène vert ou bleu soudage des aluminiums Exemple de poste à souder TIG De 150 A à 400 A Courant continu : Soudage uniquement des aciers, inox De 150A à 500 A Courant alternatif/continu (AC/DC) : Soudage des aciers, inox Retrouvez tous nos postes à souder adaptés à chaque soudure: Poste à souder Poste à souder triphasé Poste à souder monophasé Poste à souder pas cher Poste à souder Inverter Poste oxyflam air liquide Cagoule de soudage Vous pouvez également contacter nos conseillers au 03 23 53 55 92.

Installation type manuelle   La soudure MIG : Métal Inert Gaz soudage sous argon pur ou mélange gazeux. Procédé de soudage à l’arc avec un fil fusible. Ce fil est déroulé dans l’arc allumé et le métal en fusion se dépose dans le bain de soudure. Celui-ci est protégé par un gaz inerte inférieur à 5% de CO2. La soudure MAG : Métal Active Gaz. Soudage sous mélange gazeux argon CO2/O2/H2. Même description que le MIG mais le gaz de protection est actif supérieur à 5% de CO2). La torche de soudage est connectée à la borne positive (+) du générateur à courant continu et la masse (-) de l’appareil est reliée à la pièce à souder. Une alimentation en gaz de soudage est branchée sur le poste par l’intermédiaire d’une bouteille et d’un détendeur. L’arc jaillit lorsque le soudeur actionne la gâchette de la torche et que la pointe du fil électrode touche la pièce à souder. Les différents générateurs MIG/MAG Générateurs à diodes: commutateur : simplicité d’emploi, Générateurs à thyristors: contrôle électronique du courant de soudage, Générateurs à transistors: onduleur possède un meilleur transfert du métal, lois synergiques, pulsé. Les couples Fil/Gaz En règle générale pour le soudage MIG/MAG, il y a un gaz par matière à souder: Aluminium/Cuivre : Argon, Argon/Hélium, Acier : Argon/CO2, Argon/Oxygène, Inox : Argon/C2O/hydrogène. Les fils Fils pleins : acier, inox, aluminium, cuivre, rechargement, Fils fourrés avec laitier : utilisation en construction naval, Fils fourrés sans laitier : haut taux de dépôts, assemblage avec caractéristiques mécaniques, Fils sans gaz : soudage extérieur, fers béton, rechargement. Exemple de poste à souder MIG/MAG Diamètre du fil 0.6 mm : 40 à 100A – utilisation : carrosserie automobile, Diamètre du fil 0.8 mm : 60 à 180A – utilisation : tuyauterie faible épaisseur, Diamètre du fil 1.0 mm : 100 à 300A – utilisation : toutes positions, passe de pénétration, Diamètre du fil 1.2 mm : 150 à 350A – utilisation : à partir de 8 mm d’épaisseur, Diamètre du fil 1.6 mm : 200 à 700A – utilisation : à partir de 12 mm d’épaisseur. Retrouvez tous nos postes à souder adaptés à chaque soudure : Vous pouvez également contacter nos conseillers au 03 23 53 55 92.

Installation type manuelle La soudure à l’arc avec électrode enrobée se réalise à partir d’un arc électrique créé entre l’âme métallique de l’électrode et la pièce à souder. L’énergie calorifique de l’arc fait fondre localement la pièce à assembler et l’âme métallique de l’électrode pour constituer le bain de fusion. Un générateur électrique fournit le courant continu ou alternatif avec une intensité variable. La variation de l’intensité est fonction de différents paramètres comme : Le diamètre de l’électrode, la nature de l’enrobage, La position de soudage, Le type d’assemblage, La dimension et la nuance métallurgique des pièces à assembler. La tension à vide du poste à souder doit être supérieure à la tension d’amorçage (surtout en courant alternatif). Sa valeur doit être comprise entre 40 et 80V. Choix d’un poste à souder L’alimentation: Monophasée ou Triphasée, L’intensité secondaire: IS : 20 A à 500 A, La tension à vide: UO : 45 V à 100 V, Le facteur de marche: pour tester les postes à souder et en évaluer l’intensité nominale, on fait appel à un facteur de marche. Supposons par exemple que le courant nominal de fonctionnement d’un poste de soudage soit de 225 ampères à un facteur de marche de 20 %. Cela signifie que, dans une période de 10 minutes, le poste de soudage peut fonctionner pendant un total de 2 minutes à cette intensité, et doit être au repos le reste du temps, soit 8 minutes, afin de pouvoir refroidir. Si le poste de soudage est utilisé à une plus faible intensité, le facteur de marche est plus élevé. (Vous pouvez souder plus longtemps à plus faible intensité et en écourtant la période de refroidissement.) Le diamètre de l’électrode: Ø1.6mm : 40 A, Ø 2.5mm : 85 A, Ø 3.2mm : 110 A, Ø 4mm : 150 A, Les électrodes enrobées Les rutiles: usage courant en serrurerie, métallerie, mécanosoudure et petits travaux, Les basiques: usage pour des assemblages pour résistance mécanique: pont, grue, armement, Les inox: utilisées dans l’industrie chimique, alimentaire, Les cellulosiques: utilisées pour pipeline, industrie pétrolière, transport du gaz, Les fontes: utilisées pour les réparations. Découvrez notre gamme tous nos postes à souder adaptés à chaque soudure: Vous pouvez également contacter nos conseillers au 03 23 53 55 92.

La clé dynamométrique est indispensable en mécanique pour obtenir un serrage au bon couple. Une clé dynamométrique à réarmement, à cadran, à lecture directe ou poignée tournante, se choisit selon sa plage d’utilisation exprimée en Newton mètre (souvent de 20 à 300 à Nm) et son carré en pouce (1/4, 1/2). La clé dynamométrique est l’outil le plus précieux de la panoplie d’un mécanicien. Cet outil apporte un confort et une sécurité absolu dans le serrage. Cet outil de métrologie est destiné à serrer avec précision vis et boulons au bon couple ; le couple étant une force liée à un mouvement circulaire en rapport à un axe donné. Il se compose de deux valeurs : la longueur du levier ; la force appliquée en bout de ce levier. On a donc pris pour étalon la longueur de levier 1 m et la force appliquée le Newton (1 newton = 0,1 kg ; 1 daN= 1 kg). En conséquence, pour la graduation et la puissance de la clé dynamométrique, on parle en Nm (Newton mètre), en daN (déca Newton) ou en Mkg (mètre kilos) sachant que 1Nm = 0,1 Mkg. Bien entendu on trouve sur le marché des gammes de clés dynamométriques classées selon les plages d’utilisation et selon le diamètre du boulon à serrer. Associée à un carré de réception de douille comme la clé à cliquet ou un manchon recevant des embouts à fourche, la clé dynamométrique se décline en plusieurs plages. Pour les tout petits serrages à faible force on utilise un tournevis dynamométrique débrayable à manchon hexagonal pouvant recevoir des embouts de vis ou des petites douilles. Leur capacité est en général de 4 à 20 cNm (centiNewton/mètre) soit 1 cNm= 0.01Nm. Ensuite on trouve des clés avec embout à fourche ou carré de 1/4’’ (radio), 3/8″ (junior), 1/2″ (standard) ou encore 3/4″ (camion) recevant des douilles. Choisissez le bon carré qui correspond aux douilles que vous possédez afin d’éviter la contrainte de l’usage et donc de l’achat d’adaptateurs devenus impératifs. Pour rappel, un boulon se compose d’une vis et d’un écrou. Ne jamais utiliser de rallonge de bras quelconque avec une clé dynamométrique, seul le constructeur peut préconiser telle ou telle rallonge adaptée à son matériel. En revanche la rallonge de douille est autorisée. Ne pas utiliser la clé sur une vis déjà serrée à fond avec une clé normale, desserrez-la un peu, ensuite ajustez-le couple à la bonne valeur. Le tarage de l’outil dit étalonnage doit être revu et vérifié périodiquement, tous les 2 ou 3 ans ou tous les 5000 serrages est une bonne fréquence. Dans le cas d’un boulon, c’est toujours l’écrou qui reçoit la bonne charge dynamométrique. Dans le cas d’indications précises, jantes de voiture, culasse de moteur par exemple, il faut impérativement suivre les indications du constructeur sous peine de voir votre responsabilité engagée en cas de problème. La clé dynamométrique à ressort étalonné, à déclenchement et à réarmement automatique, avec cliquet intégré et carré conducteur pour douilles, est la plus vendue de nos jours. On peut trouver un modèle économique à poignée tournante, les valeurs sont gravées sur le manche. Toutes les clés dynamomètriques possèdent un système avertissant la bonne valeur atteinte de manière sonore (le fameux « clac ») ou sensitive, par bip ou par flash led. Comme tout le monde, vous êtes tenté d’en rajouter un petit coup pour la route : eh bien non, quand c’est serré, c’est serré. Il existe la clé à contrôle électronique enregistrant l’historique des serrages en vue de renseigner un document qualité, pédigrée de l’appareil traité par exemple. Afin de couvrir les plages les plus courantes, deux clés dynamométriques peuvent suffire. L’important est que la plage de 20 Nm à 300 Nm soit couverte. Bien sûr, vous adaptez l’embout selon la clé.

Pour tous les travaux de montage ou démontage, vous avez besoin de clé de serrage. Vous ne savez pas laquelle prendre parmi toutes celles qui existent : Clés plates : ont une ou deux fourches de tailles différentes. Elles sont idéales pour les écrous accessibles sur une tige filetée qui empêcherait le passage d’un autre type de clé. Un jeu de clés plates dans sa caisse à outils est indispensable, elles sont incontournables en plomberie et mécanique. Clés à œil : contrairement aux clés plates, exercent leur force sur les 6 pans de l’écrou. Elles se déclinent également sous forme de cliquet compact sur les modèles haut de gamme pour gagner en praticité et vitesse de serrage. Grâce à sa prise, la clé à œil n’échappe pas l’écrou lors des desserrages. Clés mixtes : sont dotées d’une clé plate d’un côté et une clé à œil de l’autre. La clé plate est alors utilisée pour approcher l’écrou, la clé mixte pour le serrer. Clé à molette : sont des clés plates dont la largeur de fourche est réglable à l’aide d’une vis sans fin. Très pratiques pour couvrir plusieurs tailles d’écrou ou des tailles atypiques avec un seul outil. Les clés à molette sont plus lourdes et encombrantes. Le jeu de la mâchoire limite la puissance de serrage. Très peu pratiques pour les serrages d’écrou de petite taille. Clés à pipe : En forme de L, la clé à pipe enserre aussi bien l’écrou qu’une clé à œil. Le bras plus long permet d’exercer un levier important, quitte à y passer un tube pour en augmenter le couple. Les clés à pipe débouchées laissent une ouverture pour laisser passer la tige filetée lors du serrage. À préférer lors de l’achat, qui peut le plus peut le moins . Clés à tube : Un peu à la manière des clés à pipe débouchées, les clés à tube acceptent les tiges filetées dépassant beaucoup. Il en existe des coudées et des droites, la plus connue et utilisée est sans nul doute la clé à bougie. Les clés à tube droites sont percées de part en part pour y passer une tige permettant d’exercer la force nécessaire au serrage. Une variante existe et s’appelle tournevis à emmancher, à vérifier cependant la profondeur des douilles. Clés à douille : enserrent l’écrou comme les clés à pipe. Montées sur une clé (simple ou à cliquet) ou sur un tournevis, les douilles (une par taille) sont interchangeables. Il en existe des courtes et des longues – environ 50 mm. Clés à Allen : Les clés Allen, appelées également 6 pans creux ou clé BTR, se présentent sous forme hexagonale et se retrouvent de plus en plus en ameublement et en mécanique. Leur forme en L, à l’instar des clés à pipe, permet l’accès à une vis profonde et/ou d’exercer une force de serrage plus importante. Les tailles de clés Allen communes vont de 4 à 10. Clés torx : À l’image de la clé mâle, la clé torx se présente sous forme d’étoile. Déclinée également en tournevis, c’est une empreinte que l’on retrouve principalement sur les électroménagers cependant, elle est de plus en plus fréquente sur nombre d’appareils. Les tailles des clés torx s’étendent de 10 à 50. Il existe différentes clés de serrage pour des usages variés : Les tailles courantes pour les boulons vont de 4 à 10 mm pour la petite mécanique ; Les tailles de 10 mm à environ 23 mm pour les vissages et dévissages courants ; Au-delà de 23 mm pour de la mécanique industrielle, agricole ou poids lourd. Vous pouvez acheter vos clés de serrage au gré des besoins cependant considérez que les jeux de clés sont bien moins chers que les clés vendues à l’unité. Si une clé donnée vous sert souvent pour des travaux importants, investissez dans une clé de qualité voire garantie à vie. Les clés à œil, clés à pipe ou clés à douilles enserrent les six pans de l’hexagone. Ce faisant, l’effort de serrage est réparti sur l’intégralité du boulon. L’outil et le boulon s’usent donc moins. Il existe des clés à 6 pans pour appliquer une force importante sans abimer l’écrou ou 12 pans pour repositionner l’outil plus rapidement. Certaines clés à pipes panachent les deux. Les cliquets réversibles, présents sur les clés à douilles et les clés à œil, apportent un gain de temps appréciable en permettant de manipuler l’outil sans le désengager du boulon pour le vissage et le dévissage. Ils sont conçus, sauf mention contraire du fabricant, pour le serrage ou desserrage sans exercer de force trop importante ni de choc. Sachez que l’on ne peut pas forcer comme une brute ou débloquer au marteau un écrou grippé avec un cliquet. Les marques pros tiennent assez bien le coup cependant, une clé à tube est mieux adaptée. Aussi, une douille montée sur un cliquet avec rallonge permet de dévisser une vis ou un écrou peu accessible. Un cliquet à douille se compose d’un emboitement carré verrouillé par une bille montée sur ressort et d’une douille interchangeable. Les tailles les plus courantes des embouts carrés sont 1/4, 3/8 ou 1/2 pouce. On peut trouver des embouts carrés de 3/4 voire 1 pouce pour des douilles utilisées en mécanique industrielle ou agricole. ACCESSOIRES : Difficile de faire sans douille, elles sont déclinées de 8 à 22 généralement pour les usages grand public, selon la taille de la douille l’on adapte le carré. La rallonge d’un cliquet permet d’atteindre un écrou ou une vis située dans un décrochement, ou pour éviter des obstacles qui gêneraient la course du cliquet. Le cardan d’un cliquet de serrage offre la possibilité d’accéder à un boulon dont l’axe de vissage n’est pas strictement perpendiculaire au plan dans lequel on manipule la clé. Les carrés réducteurs ou augmentateurs s’utilisent pour monter une douille à petite fixation sur une plus grosse, ou inversement, par exemple du 3/8 vers du 1/2. Ils sont très pratiques pour panacher des jeux

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